La qualité de l’air intérieur est désormais un enjeu majeur pour les entreprises soucieuses du bien-être et de la santé de leurs collaborateurs. En effet, une mauvaise qualité de l’air peut engendrer des problèmes de santé tels que des allergies, irritations ou encore maladies respiratoires. Mais le recours à des systèmes de traitement de l’air peut avoir un impact sur l’environnement. Alors, comment concilier qualité de l’air et préservation de l’environnement ?
Le rôle des systèmes de traitement de l’air dans les bâtiments
Les systèmes de traitement de l’air jouent un rôle important dans la régulation du taux d’humidité, la diminution des polluants et la gestion des températures au sein des espaces en entreprise. De nombreuses solutions existent sur le marché, allant des purificateurs d’air classiques aux technologies innovantes telles que le puits canadien (ventilation géothermique) ou les filtres à CO2. Ces dispositifs peuvent contribuer à l’amélioration de la performance énergétique et environnementale des bâtiments, ainsi qu’à l’obtention de certifications reconnues comme LEED ou HQE.
L’une des entreprises spécialisées dans ce domaine est Camfil France, qui propose des solutions de filtration de l’air adaptées aux besoins spécifiques des entreprises.
Les enjeux environnementaux de la filtration de l’air
L’utilisation d’énergie et la consommation d’eau sont les principaux impacts environnementaux des systèmes de traitement de l’air. En effet, ces dispositifs nécessitent souvent une importante consommation d’électricité pour fonctionner, notamment pour assurer la ventilation et le renouvellement de l’air. De plus, certains systèmes comme les humidificateurs ou les refroidisseurs peuvent également avoir un impact sur la consommation d’eau.
À noter : toutes les solutions ne sont pas égales en matière d’impact environnemental. Par exemple, le puits canadien, qui utilise l’énergie géothermique, constitue une solution performante sur le plan énergétique et écologique en comparaison avec des dispositifs traditionnels. De même, certains purificateurs d’air déploient des technologies innovantes permettant de réduire leur consommation énergétique et leur empreinte carbone.
L’importance du choix des matériaux
Le choix des matériaux utilisés dans la conception et la fabrication des systèmes de traitement de l’air a également un impact sur l’environnement. De nombreuses entreprises travaillent ainsi sur des alternatives écologiques et recyclables pour les filtres à air, dans le but de limiter l’utilisation de ressources non renouvelables et de diminuer leurs émissions de CO2.
Les filtres à air peuvent générer des déchets, comme les cartouches usées ou encore les particules et polluants retenus par les systèmes de filtration. Il est donc essentiel de mettre en place une gestion adéquate des déchets afin de diminuer l’impact écologique lié à leur élimination. A cet égard, Camfil propose des filtres innovants avec une durée de vie très largement supérieure aux filtres standard du marché contribuant ainsi à minimiser la production de déchets et avec une consommation énergétique réduite.
Quelles alternatives écologiques pour limiter l’impact environnemental ?
Afin de concilier qualité de l’air intérieur et respect de l’environnement, il est primordial de privilégier des solutions de traitement de l’air ayant un impact environnemental moindre, que ce soit en termes d’énergie, de consommation d’eau, de matériaux ou de gestion des déchets. Le puits canadien en est un exemple concret, tout comme les purificateurs d’air innovants proposés par certaines entreprises spécialisées comme Camfil.
Par ailleurs, il convient de sensibiliser les consommateurs à une utilisation responsable des systèmes de traitement de l’air, en optant pour des dispositifs adaptés aux besoins réels des espaces, en entretenant régulièrement les équipements et en gérant correctement les déchets issus du fonctionnement de ces systèmes.
Force est de constater qu’il est tout à fait possible de préserver la qualité de l’air en entreprise tout en limitant l’impact environnemental, à condition de choisir les bonnes solutions et d’en faire un usage raisonné.